C’est consternant à dire, mais l’Australie est une terre peuplée de gens petits et larges.
Cela faisait maintenant plusieurs mois que je parcourais les routes australiennes et j’ai eu beau chercher de grands types bodybuildés à tous les coins de rue, j’ai essentiellement trouvé des personnes de corpulence trapue. J’ai pensé que c’était simplement dû au fait qu’ils eussent la tête en bas et que l’effet de pesanteur les écrasait dans le sens de la largeur. Cependant, je m’étais déjà tapé les paysages du Seigneur des anneaux en Nouvelle-Zélande, ce n’était pas pour me coltiner une armée de nains guerriers au pays des kangourous.
Toujours est-il que j’ai découvert la ville de Brisbane et que ses habitants étaient un peu considérés comme les ch’tis australiens : un peuple qu’on aime bien mais qui est un peu la risée du pays à cause de son accent indéchiffrable.
Si Sydney et Melbourne étaient ex eaquo pour la première place du classement des meilleures villes australiennes, on pouvait sans conteste placer Brisbane en seconde position. Ainsi, tout le monde s’arrachait les deux villes principales et peu de personnes s’intéressaient réellement à Brisbane, ce qui en faisait un peu le Poulidor australien.
L A M I N U T E CU L T U R E
L’idée du gouvernement était d’installer sur l’actuelle Brisbane une colonie pénale où seraient envoyés tous les criminels les plus endurcis de Sydney. D’abord sur l’île de Moreton puis, chassés par les aborigènes et par manque d’eau potable, les colonisateurs décidèrent de déménager sur le continent. Ces terres seront rapidement accaparées par le gouverneur Brisbane, qui donnera son nom à la ville et au fleuve. Les aborigènes déjà présents qui voulaient protéger leur « paradis terrestre » seront presque tous exterminés, si bien que ce sera l’un des épisodes les plus sanglants de la conquête Australienne.
En 1859, lorsque la séparation du Queensland d’avec la Nouvelle-Galles-du-Sud est entérinée, Brisbane est choisie pour devenir la capitale du Queensland. Ainsi, on retrouve encore des traces d’avant cette scission sur quelques vieux bâtiments de la ville. Merci Jamy ! C’était La minute culture, le reste, c’est par ici. Revenons-en à mon histoire, plutôt.
À la suite de mes articles sur Melbourne et Sydney, beaucoup de questions sont restées en suspens. Je vais donc tenter de répondre à cette problématique, à travers un véritable travail d’investigation journalistique sur Brisbane :
– Jennyfer BigFakeBoobs a-t-elle gagné le concours du nombre maximum de couches de fond de teint tartinées sur la gueule ?
– Bryan WhiteTeeth a-t-il plaqué Jennyfer pour défourailler pleinement le pot d’échappement de sa Ferrari ?
– La vaseline est-elle enfin incluse dans le prix exorbitant des bouteilles d’alcool et des cigarettes ?
– Avec tout le pognon qui règne à Brisbane, les australiens se sont-ils enfin acheté une culture ?
T H E C I T Y

Le coeur de la ville était une espèce de centre commercial géant, le Queen Street Mall, qui était lui même divisé en petits centres commerciaux. Une fois de plus, des chaines de magasins qu’on retrouvait déjà dans toute l’Australie (Universal, Rebel, Seven Eleven, Coles…) et dans le monde entier (Starbucks Coffee, Sephora, Zara, H&M…) pullulaient dans les rues. Quelques cafés et restaurants atypiques, certes, mais peu de place aux boutiques spécialisées et à la culture, excepté pour les artistes de rue qui avaient le droit à des emplacements et des horaires sélectionnés par la ville.

Sur ces mêmes emplacements, il y avait aussi quelques allumés qui prêchaient la bonne parole de Dieu mais qui avaient autant d’auditeurs que Frédéric François en live dans une cité du neuf-trois. À l’heure où j’écris ces lignes, je ne sais toujours pas s’ils étaient autorisés par la ville de Brisbane.

Comme dans toutes les grandes villes australiennes, l’architecture était un mélange de vieux bâtiments et de buildings modernes, avec un jardin botanique en guise de poumon urbain et un quartier chinois.
D’ailleurs, dans le quartier chinois, tu retrouveras des coréens et des vietnamiens, mais on a décidé d’appeler un quartier peuplé d’asiatiques « Chinatown ». C’est comme ça. Moi, je m’en fous, mais si tu commences à appeler un quartier européen « Germanytown », je risque de faire la gueule. Déjà parce qu’on peut pas se blairer et puis parce que ça me ferait chier d’être obligé de bouffer des saucisses et des bretzels à tous les coins de rue.

Victime de son succès fulgurant, Brisbane n’a vraisemblablement pas eu le temps de construire les infrastructures nécessaires à la fluidité de son trafic routier. Malgré tout, le moyen de transport à privilégier était le bus, puisque la capitale queenslandaise était dépourvue de tramway.
Cependant, je soupçonnais les chauffeurs de bus australiens de faire référence aux heures les plus sombres de notre histoire, avec un humour nauséabond qu’ils arboraient fièrement sur leur pare-brise.
Moyen, les mecs. En plus, concrètement, vous n’avez rien branlé pendant la Seconde Guerre mondiale. Enfin, en tout cas, personne ne sait quoi exactement et, de toute façon, tout le monde s’en fout.

D’ailleurs, il valait mieux obtempérer, sinon, le chauffeur ne ralentissait même pas. De la même manière, il valait mieux que je sois à l’heure pour choper mon bus, parce que même si je courais en trombe face à lui pour l’attraper, si Captain Chauffeur de Bus Australien Viril et Poilu avait décidé de partir, il partait. Rien ne pouvait l’empêcher d’accomplir à bien sa mission, quand bien même le prochain ne passait que l’heure suivante.
Messieurs de chez TransLink : tâchez déjà de poser des bancs à l’endroit, si vous voulez que les voyageurs captent votre regard sans se taper un torticolis tous les 4 matins.

En parcourant la longue Adelaide Street du Nord au Sud, j’arrivais face à la Brisbane River, qui était dotée d’une flopée de ponts tous aussi affreux les uns que les autres. Le plus grand et le plus célèbre d’entre eux était sans nul doute le Story Bridge (photo en tête de chapitre et ci-dessus).
Certes, il était photogénique puisqu’il était imposant et que la skyline faisait office d’arrière plan idéal, mais je venais tout juste d’admirer le Harbour Bridge à Sydney. À côté, celui-ci faisait un peu travail de maçon portugais, avec finitions à la truelle et au ciment.
Pour couronner le tout, la nuit, une sublime guirlande lumineuse multicolore de sapin de Noël le rendait définitivement dégueulasse.
Note comme les couleurs bavent joliment dans la rivière.
En ce qui concerne les autres constructions, je me suis simplement demandé si les ingénieurs étaient torchés pendant les brainstormings.
Conclusion ?
T H E S U B U R B
F O R T I T U D E V A L L E Y

À 10 minutes à pied de la city, Fortitude Valley était à la fois le lieu où j’habitais et le quartier de la jeunesse « à la mode » brisbanaise.
Je le mets entre guillemets parce que même la rue la plus branchée de Dunkerque ne sera jamais complètement à la mode.
Enfermée entre le suburb inutile de Bowen Hills et Chinatown, Brunswick Street était la rue principale de ce quartier. En fait, ce suburb ne se résumait qu’à cette grande rue, avec des bars et des boîtes de nuit tout le long, dont certains débordaient sur quelques rues perpendiculaires.

En journée, Fortitude Valley tenait plus de la cour des miracles. C’était un quartier dont la gentrification était presque achevée mais dans lequel des bribes de l’ancienne population persistaient. Ainsi, j’y ai croisé une grand-mère de 80 balais qui fumait un pétard sur un banc, me regarder comme si j’étais une fille en mini jupe en Arabie Saoudite, une dizaine de travestis, des prostituées, des camés taillés comme des épaules de sprat, en train de mendier sur les trottoirs et plein d’autres types à qui je n’aurais pas aimé présenter ma fille.

De nuit – et surtout le samedi soir – Fortitude Valley changeait complètement de visage pour laisser place à la jeunesse white trash australienne. Je pensais avoir tout vu à Melbourne et à Sydney mais j’étais loin de me douter que les australiennes pouvaient être encore plus vulgaires qu’elles ne l’étaient déjà.
Bars et trottoirs bondés, Jennyfer BigFakeBoobs et Bryan WhiteTeeth (certes trapu donc) étaient de sortie.
En discutant avec la population locale, certaines filles m’ont expliqué que si elles étaient si exubérantes, c’était parce que les garçons étaient très timides et que c’était une manière de les mettre en confiance. Lorsqu’elles m’ont dit ça, je suis resté les bras ballants, sans pouvoir claquer un mot de plus.
Seuls les tétons sont cachés sur l’entièreté de tes mamelles et tu espères ne pas les intimider ?
[Edit]
J’ai donc fait lire mon article à un garçon et sa réponse à été très claire : « Non, celle qui t’a dit ça n’était qu’une salope ».
Entre les deux mon cœur balance.
Musicalement, force était de constater que l’Australie avait un temps d’avance sur la France (enfin de retard mais, la musique, c’était mieux avant). Là où, dans nos bars parisiens, les playlist étaient axées électro-soupe-lounge pour ne pas trop brusquer Marie-Charlotte qui fumait des pétards toute la journée, eux n’hésitaient pas à jouer un bon vieux morceau d’Aerosmith dans le bar le plus hype du quartier. Et les gens chantaient. D’ailleurs, ce n’était pas une coïncidence si leurs artistes de rue – qu’on retrouvait certainement en live dans les bars – étaient tous de bons musiciens et/ou de bons chanteurs.
En revanche, calmez-vous avec vos minets gratteux qui chialent au micro. C’est insupportable.
N E W F A R M

En continuant sur Brunswick Street, je suis arrivé dans le quartier de New Farm. J’ai noté quelques bars et restaurants mais surtout une boulangerie française qui m’évitait le pain dégueulasse de chez Woolworths.
New Farm Park (photo ci-dessus) était également un lieu notable de ce suburb. C’était peut-être l’espace vert dont on m’avait le moins parlé et pourtant celui qui m’avait le plus impressionné. Ses arbres centenaires, ses collections de roses, ses terrains de sport, ses espaces barbecue et sa proximité avec la rivière en faisaient un lieu convivial et reposant. Les brisbanais aimaient y aller entre amis ou en famille, ou simplement en couple pour admirer le coucher de soleil derrière la skyline, qu’on voyait apparaître au loin et qui commençait à s’illuminer dès la tombée de la nuit.

Ainsi, à la suite d’une overdose de niaiseries qui m’avaient fait perdre toute confiance en l’humanité, j’ai préféré continuer ma route dans le parc en solitaire et c’est comme cela que je suis tombé, par hasard, sur la Brisbane Powerhouse (photo ci-dessous).

Cette ancienne centrale électrique rénovée en centre culturel n’était pas sans me rappeler la Battersea Power Station de Londres (en plus petite et sans le cochon volant, bien sûr).
À noter que son restaurant « WATT » embrassait la rivière et qu’il était, par conséquent, agréable d’y déguster une bonne bière.
S O U T H B A N K

Ancienne zone industrielle froide et sans vie, la ville de Brisbane a tout fait pour devenir attractive en construisant sans relâche des lieux culturels. En bon français assoiffé de musées chiants à mourir comme un bureau de poste ouvert le dimanche à Flétri-le-Pinson, j’ai décidé d’aller visiter Cultural Center, dans le quartier de south bank. Je me suis arrêté à Adelaide Street, l’une des rues principales de la city, dans laquelle la quasi totalité des bus passaient. Je suis monté dans l’un d’entre eux au hasard et j’ai demandé au chauffeur s’il allait bien dans le quartier désiré :
Bon, j’ai romancé un peu pour accrocher le lecteur mais c’est une histoire vraie.
Toujours est-il qu’il faut donc prononcer « Kieultwol » (ou Kieulteur) et que, de toute façon, personne ne dit « centre », puisqu’ils ont abandonné cette partie du nom au même titre qu’ils ont abandonné tout espoir d’ouvrir un livre au moins une fois dans leur vie.
Ce qui m’a rassuré, c’est qu’un australien m’a expliqué que la plupart des habitants de Brisbane n’avaient jamais quitté l’Australie et que même les anglais avaient du mal à se faire comprendre.

Si tu veux connaître toutes les activités culturelles à faire à Brisbane, je te conseille cette page. Personnellement, j’ai voulu m’arrêter de lire dès la première ligne : « Brisbane est une cité qui a fait ses preuves en termes de culture. », mais je me suis dit que c’était peut-être un texte satirique d’une jeune étoile montante de la scène humoristique australienne, alors j’ai continué.
Arrivé au dernier paragraphe : « La fièvre culturelle de la cité atteint des sommets inégalés lors du festival de Brisbane », j’ai recraché mon verre de champagne sur mon MacBook Pro de la marque Apple : « Ouh putain ma salope, toi t’es un bon ! » me suis-je esclaffé.

Bref, si tu as de la chance, tu auras peut-être l’occasion de voir une expo ou un festoche mais, le reste du temps, tu auras seulement le droit à trois musées qui se battent en duel avec quatre pauvres oeuvres entassées les unes sur les autres. À l’heure où j’écris ces lignes, les seules expositions que l’on trouve à Brisbane sont une expo sur l’univers de Marvel et un salon sur les poids lourds.
En résumé, lorsque tu vis à Brisbane, il vaut mieux avoir le sens de l’humour.

Contrairement à ce que je m’étais imaginé, il n’y avait pas de plage à Brisbane. La ville n’a pas été construite au bord de l’océan comme ce fut le cas pour Melbourne et Sydney. Il fallait prendre le train pendant une bonne demie heure avant de voir la première écume de mer. En réponse à ça, Brisbane s’est offert le Lagoon South Bank. Plusieurs kilomètres carrés de jeux pour enfants, de tables à pique-nique, de restaurants, de végétation, de fontaines et de piscines à ciel ouvert. En somme, c’était une espèce de petit parc d’attractions aquatique complètement artificiel mais totalement gratuit. Bonne ou mauvaise idée, il avait en tout cas beaucoup de succès.
Puis il fallait reconnaitre que c’était toujours mieux que cette daube de Paris Plages.
Pour conclure, il faut bien prendre en compte que tous les quartiers susnommés étaient des endroits animés dans lesquels le gens sortaient de jour comme de nuit.
Il y avait aussi le quartier de West End (dont l’architecture de quelques façades laissaient à désirer), qui était le quartier « hippie » de Brisbane, dans lequel tu retrouveras moult lieux de dépravation ainsi qu’une boutique qui te rappellera les épisodes de Buffy contre les vampires.
M O U N T C O O T – T H A

À quelques kilomètres du centre-ville, le Mount Coot-tha accueillait une plate-forme panoramique, un planétarium et des jardins botaniques.



Par ailleurs, le lieu abritait également une forêt, la Mount Coot-tha Forest, qui abritait elle-même quelques chutes d’eau, dont la J.C. Slaughter Falls.
Je t’aurais bien montré des photos mais que se passe-t-il quand on va voir une chute d’eau en Australie et qu’il n’a pas plu depuis des mois ? Voilà, tu as deviné.
F O C U S P H O T O G R A P H Y

L E C A D R A G E E T L A C O M P O S I T I O N
Je vois bien trop souvent des photos de paysages complètement ratées sur le net. Fréquemment, et outre les couleurs abracadabrantesques, c’est bel et bien le cadrage qui fait défaut.
Et si repérer les lignes intéressantes et dynamiques d’un paysage ne s’apprend pas en jour et nécessite de l’entrainement pour se « faire un oeil », 5 règles de base sont, en revanche, accessibles à tout le monde :
1 – Mis à part pour un délire artistique quelconque (dont le cliché « point of view » du photographe allemand Jan Erik Vaider en serait une très bonne illustration), la ligne d’horizon (la ligne de démarcation entre la mer – ou la terre – et le ciel) se doit d’être droite.
Il existe une multitude d’outils qui te permettent de le savoir en production (niveau d’eau intégré ou option « info » sur ton appareil qui te permet d’avoir une grille de repères) ou en post-production (outil « règles » ou « recadrage » sur Photoshop et Lightroom).
Il n’y a qu’une règle particulière quant à savoir où elle doit se positionner dans ton cadre. En principe, si on suit la logique des « tiers » , elle doit être aux 2/3 de ton image. Soit tu as plus de terre, soit tu as plus de ciel (valable pour le format portrait).
Mais comme toutes les règles sont faites pour être transgressées, tu peux tout aussi bien la mettre au centre, si tu penses que la terre ou la mer a autant d’importance que le ciel, ou si un intérêt graphique demeure dans ton choix (voir photo ci-dessus).
2 – Si tu prends un portrait au format paysage (horizontal), il est en général préférable de décentrer son sujet. Si tu le prends au format portrait (vertical), préfère centrer ton sujet sur sa gorge plutôt que sur ses yeux.
3 – Tache de repérer les pleins et les vides dans ta composition photographique. Si, sur ton image, tu as « tout d’un côté » et « rien de l’autre », il est fort probable que ta composition soit déséquilibrée.
4 – Comme dans une maquette de magazine, il ne faut pas hésiter à laisser « respirer » ta composition. C’est-à-dire avoir des marges sur les côtés qui permettent à ton ou tes sujets de ne pas être collés aux bords de ta photo.
5 – Dans une société occidentale classique, on lit de gauche à droite. C’est certainement pour cette raison que, sur une image, la droite symbolise l’avenir et la gauche le passé.
Par exemple, si tu photographies une personne ou un véhicule, fais en sorte que ton sujet soit cadré à gauche et qu’il regarde vers la droite de l’image.
Pars également du principe que ce n’est pas parce que le spectateur ne met pas le doigt sur ces problèmes qu’il ne les sent pas.
Par ailleurs, même s’il est vrai qu’on cadre généralement une belle plage à l’horizontale, de la même manière qu’on cadre un portrait en format « portrait », à la verticale, Instagram nous prouve tous les jours qu’on peut tout à fait réussir de belles compositions de paysage à la verticale.
Ainsi, les clichés du photographe australien Pat Kay sont quasiment tous des paysages en format portrait, comme le confirme son compte Instagram.
Il faut garder à l’esprit que ce réseau social est certainement le meilleur propulseur de célébrité actuel pour les photographes. Les heureux possesseurs de smartphone (tout le monde, donc) tiennent généralement leur appareil à une main et verticalement. Le meilleur format pour mettre en valeur ses photos sur Instagram est donc le format portrait, quel que soit ton sujet.
Cependant, rien ne t’empêche d’avoir deux versions de tes photos. L’une en paysage, pour ton blog, et l’autre en portrait, pour ton compte Instagram.
« Photographier, c’est mettre sur la même ligne la tête, l’oeil et le coeur » – Henri Cartier Bresson
Et j’ajouterais que, dans certains cas, une bonne paire de couilles peut faire la différence également.

A D V E R T I S E M E N T
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- Sa pause clope
Si t’en as rien à branler de ce que racontent tes collègues. - Attendre son métro
Franchement, entre ça et le 20 Minutes… - Coïter
Si tu t’ennuies. - Aux toilettes
Le lieu idéal. - Lire autre chose que mon blog
Rigoureusement interdit !
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